« Être capable de travailler sous pression ». Cette phrase anodine est devenue avec le temps incontournable sur bon nombre d’offres d’emploi. Loin d’être une simple formule, ce concept revêt d’une importance capitale dans le futur contrat qui liera l’employeur et son salarié. Est-il normal pour les employeurs d’attendre une telle compétence de la part d’un candidat ou non ? Que veut réellement exprimer les recruteurs en demandant aux candidats d’être capable de travailler sous pression ?
Premièrement, il est important de savoir que la finalité de presque toutes les entreprises est d’augmenter leur rentabilité et garantir leur pérennité. Dans cette situation, la vie professionnelle peut être ou est souvent jonchée d’imprévus. Que ce soit au niveau des plannings, des objectifs, des missions ou des opérations. Ces bouleversements peuvent amener les managers à imposer des conditions de travail que les uns jugent de pression.
En réalité, travailler sous pression signifie simplement travailler avec des horaires bien définies. Beaucoup de candidats s’imaginent déjà un patron leur hurlant au-dessus toute la journée.
En d’autres termes et pour aller loin, quand un recruteur recherche un collaborateur capable de travailler sous pression, il souhaite avant tout une personne capable de rester calme mais réactive en cas de situations imprévues.
En entretien, on cherchera à savoir si le candidat est capable de dépasser sa frustration et son exaspération si les choses ne se passent pas comme prévues, et s’il est capable de proposer des alternatives. Travailler sous pression c’est donc être organisé et rigoureux.
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